• Artiste : Maryse Casol
• Peinture à l'huile Grumbacher sur une toile en coton British Blueprint montée sur un support en bois de pin à l'arrière
• Oeuvre d'art peinte à l'extérieur à Varennes, devant le Fleuve St-Laurent
• 30" x 24" - 76 cm x 61 cm
• Signé Casol en bas à droite
• 2002
• Fait au Canada
• Photos : IEGOR (2025) et Daniel Charpentier (2002)
Voyagez dans le temps à Montréal, dans la province de Québec au Canada, avec le tableau Extase, fait en 2002, par l'artiste peintre Maryse Casol!
2025
Pour vous faire découvrir la collection secrète de Maryse Casol, et des peintures presque inédites réalisées au Canada, le 4 février 2025, Extase, est enfin publié sur MaryseCasol.com , puis mis en vente aux enchères chez Iegor, dans leur vente d'Art Canadien qui se termine le 3 Avril, 2025 ! Merci au nouveau collectionneur!
2004
À l'hiver de 2004, Maryse Casol a apporté certaines de ses peintures de 2002 en consignation à la vente à Christiane de Livry, propriétaire de la galerie d'art Artitude à Montréal, Canada. Extase avait été gardée par Maryse Casol.
2002
Votre collection Maryse Casol 2002 comprend pour vous les 10 œuvres: Évasion en Pays Catalan, Extase, Éclosion, Solitude au Crépuscule, Collines aux Environs de Port-Vendre, Solitude, Méditations aux Abords du Fleuve St-Laurent, Espérance, Collines du Perthus, et Sous-Bois Estival au Mont-Royal.
Dès son jeune âge, un dialogue secret, magique et intime avec le monde frémissant de la nature, s’éveille comme une réalité innée. Cette dimension innéiste est une sorte de sensibilité prédisposée au langage incommensurable et éphémère des atmosphères de la vie des champs et des paysages exotiques. Cette sensibilité devient la notion d’une évasion vers le miroir fragile de la nature.
Née en France en 1957, d’origine Italo-Française, elle est licenciée en langues étrangères (Anglais, Espagnol) à l’Université de Bordeaux. En outre, elle suit des études supérieures es Lettres et en Philosophie.
Conjuguant le quotidien en évoluant dans le tourisme, Maryse Casol, devant le goût persistant de son amour ardent pour l’Art, s’inscrit à l’Académie Arts et Beaux-Arts à Varennes, Québec. Aux côtés de Sam Aberg, elle reçoit une formation complète de plusieurs années qu’elle termine avec grand succès, intégrant la rhétorique de l’esthétique compositionnelle de l’art, tant classique que moderne, l’Histoire de l’Art, avec également, des notions iconographiques, sémiotiques et philosophiques. Aussi, des cours de critique d’art comparatif couvrant les différents mouvements de la peinture.
Son oeuvre, dans la dynamique et le rouage d’une évolution limpide et noblement ordonnée, ouvre une autre voie, une perspective bien définie dans l’art, pour s’imbriquer dans les collections privées et publiques.
L’oeuvre profonde d’un artiste, se situe dans les limites des sens et du temps à franchir, là, où le hasard ne peut pénétrer le silence magique des formes. Des formes aux atmosphères denses et sonores, jusqu’à la saturation intemporelle de l’espace.
Pour pénétrer dans le temps suspendu, estompé, oublié parfois dans les méandres des touches chromatiques, l’artiste CASOL conscientise la source de l’ardeur de son expression, pour l’interpénétrer dans l’écho saisissable des formes à retenir. C’est le voyage poétique dans les silhouettes captées, saisies frénétiquement jusqu’à la moindre anfractuosité de la tache picturale.
Il y a l’émotion et l’évanouissement de celle-ci qui semble se dresser en fusion avec le temps primaire et éphémère. Maryse CASOL soulève cette dimension primaire du temps, dans l’évolution descriptive et narrative de ses oeuvres post-impressionnistes naturalistes, notamment, Extase, Printemps éphémère et Evasion en Pays Catalan, une sorte de périssologie, afin de parvenir à ébranler le spectacle rythmé de la nature. C’est en quelque sorte, ébranler l’immobilisme du temps, celui du monde objectif, sans lueurs et sans couleurs, celui des flots oubliés dans la brume.
L’artiste, comme on peut le voir sur ses oeuvres, traite l’espace d’un relief d’émotions, où la sensibilité furtive et fugitive ne cesse d’augmenter dans le rouage compositionnel des formes et des couleurs. Devant cette réalité picturale Casolienne, l’esthétique subjective de son post-impressionnisme n’est saisissable que dans les limites d’un temps à naître, dans l’instantanéité d’un horizon qui se courbe ou fléchit sous le rythme continu d’un temps aux parfums d’émotions. De la transcendance des éléments ascensionnels aux évasions des pseudo-sfumatos comme Solitudes et Collines du Perthus, l’artiste CASOL scrute l’éphémère de l’impression jusqu’aux replis de la matière, donnant ainsi à ses oeuvres, une sorte de musicalité impondérable qui se heurte à une chromatique muante sous les nuances saisissables des effets de lumière.
Sam Aberg, Hiver 2003
Livres en vente entre autres au Musée des Beaux Arts de Montréal
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